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La Belgique : le Bazaar d'Armes

Les commentaires qui suivent sont retirés et traduits pour vous, d'un article du 19 novembre dans "Financial Times," une source d'information avec beaucoup de valeur déjà prouvée.

 

November 19, 2015 7:06 pm

Paris attacks: Belgium’s arms bazaar

 

 

  • Quand Ayoub el-Khazzani est sorti des toilets sur le Thalys Amsterdam-Paris le 21 Auôt, il portait un fusil Kalachnikov et un pistolet 9 mm. Il était monté sur le train à Bruxelles, devenu une rampe de lancement de choix pour les attaques des djihadistes. Les opinions des experts est qu'il faut considéré Bruxelles comme l'endroit favoris pour s'obtenir des armes de contrebande en provenance des Balkans. Son avocate Belge semble dire qu'il est facile d'obtenir de telles armes. L'avocate suggère que M. el-Khazzani à trouvé ces armes dans une valise tombée d'un camion, pendant que lui dormait dans un parc près de la Gare du Midi. Une gare connu surtout par les navetteurs comme le terminal Eurostar. Elle a ajouté aussi que M. Khazzani voulait seulement voler les passagers, pas les tuer. Alors que les experts de sécurité rejettent l'histoire de la valise, personne ne doute M. Khazzani acquis ses armes à Bruxelles.
  • L'horrible attaque à Paris avec 129 personnes tuées, à vite remit le feu des projecteurs sur la capitale Belge, et son quartier dépravé de Molenbeek. Et ce lieu comme un centre de retour des combattants djihadistes qui cherchent à déployer les compétences meurtrières apprises en Irak et en Syrie. Par habitant, la Belgique a vu le plus grand nombres de ses citoyens, partir pour cette zone de guerre, que tout autre pays européen. Président François Hollande à assez vite nommé la Belgique comme le lieu d'organisation de cette dernière (dernière? je voulais écrire: plus récente) atrocité.
  • L'article continue : "D'autres pays européens ont des mosquées radicalisés, des cellules terroristes actives et mécontents, des jeunes chômeurs qui sont facilement recrutés par des groupes djihadistes tels que ISIS. Ce que la Belgique ajoute au mélange, disent les analystes, est une longue histoire tourmentée de lois laxistes d'armes à feu et un pedigree de la fabrication des armes à feu, dirigé par FN Herstal en Région wallonne. Le pays dispose d'un nombre anormalement élevé de personnes ayant une expertise technique et commerciale dans les pistolets."
  • Nils Duquet, un expert en armes à l'Institut flamand pour la Paix, note que jusqu'en 2006, les acheteurs pouvaient acheter des armes, simplement en montrant une carte d'identité, et partir avec sans délai ni de suivi. Le gouvernement n'a resserré ses règles qu'après que le "skinhead" de 18 ans, Hans Van Themsche s'est baladé déchaîné dans un tir raciste à Anvers cette année, tuant deux personnes et en blessant une. De là à ce point, une grande réserve d'armes à feu avaient accumulé en Belgique, dit M. Duquet. "Nous avions déjà assuré une réputation. Les gens savait que la Belgique était un pays pour y acheter des armes à feu."

  • Djihadistes ont fait le plus du mélange combustible. François Molins, le procureur de Paris, affirme que les voitures utilisées dans les attaques de la semaine dernière ont été conduites «presque en convoi" de la Belgique, où elles ont été embauchés. Au moins l'une des voitures portaient des armes de type Kalachnikov, une partie de ce qu'il décrit comme un «véritable arsenal". 

 

La terreur est à vendre

 

  • Des fonctionnaires belges n'ont pas voulu dire s'ils ont la preuve que les armes de l'attaque en France ont été acquisent à Bruxelles, mais, le cas échéant, il pourrait convenir d'une tendance troublante. En plus de l'attaque échouée de M. Khazzani en train, la plupart des récentes attaques terroristes de grande envergure en Europe ont des liens avec le marché de l'armement belge.
  • En Janvier, M. Metin Karasular, un résident de Charleroi, et qui est sous enquête pour trafic d'armes, lui-même s'est rendu à la police après avoir vu des photos de deux des suspects dans le complot en Janvier à Paris qui a tué 17, dont 11 dans les bureaux du magazine satirique Charlie Hebdo.
    M. Karasular a nié vendre des armes à Amedy Coulibaly - le militant qui avait pris d'assaut une épicerie dans les heures après l'agression Charlie Hebdo - et a insisté qu'il avait simplement aidé une connassance à acheter une voiture qui avait appartenu à la petite amie de Coulibaly. L'avocat de M. Karasular dit que son client s'est volontairement approché de la police, et pour éviter tout malentendu dès qu'il a vu Coulibaly et sa petite amie identifié à la télévision. La petite amie, Hayat Boumeddiene, est soupçonné d'avoir fui vers la Syrie, d'un vol qui avait pris son départ de Bruxelles-Zaventem.

  • En outre, des agents de sécurité ont déclaré au Financial Times que M. Khazzani appartenait à la même cellule que Mehdi Nemmouche, un algéro-française qui a tué quatre personnes avec une Kalachnikov dans une attaque sur le Musée juif de Belgique à Bruxelles en mai de l'année dernière.
    Les responsables ont ajouté que cette cellule était aussi derrière une fusillade dans la ville belge provinciale de Verviers en Janvier, où deux djihadistes ont été tués et un autre blessé. Ces combattants - ce serait des complices du suspect Abdelhamid Abaaoud à Paris - avaient accumulé un stock formidable de Kalachnikovs, des pistolets, et d'équipements nécessaire à la fabrication de bombes, et ont planifié des attaques contre la police de la Belgique, selon les procureurs à Bruxelles. Abaaoud a été tué lors d'une descente sur une propriété vétuste à St Denis, le gouvernement français a confirmé hier.

  • M. Claude Moniquet, un ancien espion français et co-fondateur du Centre européen de renseignement et de sécurité stratégique, a dit qu'il trouvait plus en plus de preuves que le commerce d'armes à feu belge, qui auparavant était ciblé sur les criminels, s' était élargi pour fournir des armes aux djihadistes.
    M. Moniquet a déclaré que le marché noir des armes à feu, y compris les vendeurs darmes autour de la Gare du Midi, ont vu les prix atteindre un nouveau pic, et ceci en parallèle avec l'augmentation du risque de ventes à présent. Il y a quelques années, un AK-47 vendu avec 300-400 cartouches inclus pourrait être acquis pour environ 400 €. Maintenant, M. Moniquet dit, les prix ont augmenté de € 1.000 à 2.000 €. Cela ce comprend, dit-il : "Le trafic d'armes à des criminels est une chose; aux terroristes c'est une autre." Il ajouta, "Alors que les trafiquants d'armes peuvent recevoir des peines de deux à trois ans, si vous vendez des armes à un terroriste, vous pouvez vous attendre à 20 ans."

 

Les liens aux pays Balkans

  • Le flux d'armes illégales en Belgique a véritablement commencé dans les années 1990 au milieu des guerres aux Balkans, et la chute de l'Union soviétique. M. Moniquet dit qu'une importante communauté d'armes balkanique, construit pendant ces années de guerre, après cette guerre ont commencé de circuler librement autour de la Yougoslavie fragmentée. Des anciens responsables communistes se sont mit à trafiquer des vastes réserves d'armes et munitions de leurs états, jusqu'à là, cachés en réserves.  Kosovo 1999 - des armes rendu au gouvernement.jpg

    M. Moniquet estime que 90 pour cent des armes circulant en Belgique proviennent probablement des Balkans. "Vous avez des montagnes de Kalachnikovs en Bosnie, en Serbie et en Croatie," dit-il. "Si vous avez à faire avec ces gens, vous avez à faire avec leurs habitudes et leurs 'bagage', dit Monique. La contrebande est simplement une tradition vivante pour ces gars-là. "

  • La Police en Hollande se plein que les vendeurs de drogue dans leur pays se servent de plus en plus souvent de Kalashnikovs au lieux de pistolet. Ces armes sont très disponibles en Belgique, est leur explication.
  • Alors que les experts en sécurité font valoir qu'il existe une grande réserve d'armes à feu en Belgique depuis les guerres des Balkans, ils notent qu'un «trafic de fourmi" continue, avec des contrebandiers apportant un petit nombre de fusils d'Europe du Sud. Peu de temps avant les attentats de Paris, les autorités allemandes ont dit qu'ils avaient arrêté une voiture du Monténégro transportant huit fusils AK-47.
    Ivan Zverzhanovski, chef du Sud-Est de l'ONU et de l'Europe orientale Centre pour le contrôle des armes légères et de petit calibre, dit que beaucoup de gens dans la région aiment encore garder les armes à la maison. Certains Monténégrins boutade que "une maison n'est pas une maison sans arme". Le nombre d'armes à feu non enregistrées en Serbie est estimé à plus de 200.000, et les autorités du pays disent que ce chiffre pourrait être aussi facilement élevé jusqu'à 900.000 sans exagération. La photo démontre un de plus de milles conteneurs, avec des armes rendu au gouvernement en 1999.

  • Faire un petit voyage vers le nord pour vendre ces armes, peut vite se révéler lucrative. "Nous avons de plus en plus vu une tendance à la traite micro depuis 2010», explique M. Zverzhanovski.  «Vous pouvez probablement acheter un AK-47 pour environ 300 € ce jour dans les Balkans : Une réserve généreuse de munitions gratuites avec. C'est cela le commerce, non? Même des "petits criminels" agissant seul à la fin de la semaine, peuvent alors conduire cette arme cachée dans leur voiture en Belgique, ou moins souvent en Suède, et la vendre facilement et très vite pour environ €4000. En semaine, qu'est-ce-qu'il gagne au travail ce même gars"?
  • "Une fois que ces armes sont en Belgique," dit M. Duquet, "une des principales faiblesses du pays est tout simplement géographique, que les terroristes peuvent s'échapper à la détection en passant facilement entre les juridictions des différents services de sécurité, et forces de la lois."
    "Ceci n'est pas seulement un problème belge. Croire cela est une exagération. Il y a un énorme commerce d''armes à Paris, à Marseille et à Berlin, n'importe où que le taux de criminalité est élevé. Mais la Belgique est un pays de transit. Il est petit et conçu à présent d'une façon qu'il est difficile pour la police d'intervenir. Vous pouvez y arrivé en Belgique de la France - y arriver dans une heure ou moins. Il est très difficile pour la police d'intervenir dans tous ces petits accords de vente d'armes."
    En termes de caches d'armes détenues par les djihadistes, les autorités belges ont du mal à pénétrer les quartiers pauvres comme Molenbeek, qui abrite une importante communauté d'origine nord-africaine.
    Les agents de sécurité disent qu'il est commun pour les cellules de militants d'utiliser des maisons d'hébergement, où les armes sont en permanence prêts pour le retour des combattants revenu des pays étrangers. Ces mouvements se font d'une façon rapide et sont difficiles à intercepter.

 

Vers une réponse coordonnée

 

  • Le statut de la Belgique comme une plaque tournante pour la contrebande à fait succès médiatiques en Juillet, lorsque la police a démantelé un réseau de vendeurs de pistolets et d'autres armes dans les alentours de Charleroi, en saisissant des dizaines "d'armes légères." Les passeurs, apparemment sans trop de difficulté, avaient réussi l'effrontément de fausser la signature du ministre-président de la Wallonie sur les documents d'importation pour leurs produits.
    Le mois après ce fiasco à Charleroi, Koen Geens, le ministre de la Justice, annonça que la Belgique allait faire plus de démarches et mettre en place des mesures supplémentaires pour briser les gangs de contrebande.
    Il a réussi à réactiver une mesure, le "comité de coordination interministériel sur les transferts illégaux d'armes", qui avait été largement oubliées depuis 2003. Sa restitution est destiné à améliorer le partage de renseignements entre les services de l'administration, souvent dysfonctionnel en Belgique, dit ce rapport.

  • La coordination de l'effort nécessaire semble être particulièrement difficile pour les autorités en Belgique, un pays encore divisé selon des lignes linguistiques et entre les administrations régionales et fédérales. Bruxelles, par exemple, a six zones de police, ce qui entrave le partage d'informations. Un autre politicien du parti de M. Geens, Sonja Becq, propose de mettre plus de téléphone sur écoute pour lutter contre les trafiquants d'armes.
    Une des plus grandes préoccupations charnières de M. Geens, est sur les armes prétendument désactivée, et provenant des massives dépôts d'armes de l'ère soviétique.
    Techniquement, ces armes désactivés sont uniquement destinées à être utilisable comme des accessoires de scène ou des objets de collection. Mais les anciens pays de l'Est ont des normes très différentes sur ce que signifie la désactivation, et la plupart des armes peuvent être réparées pour tirer de nouveau. Dans plusieurs pays, les stocks d'armes ont été pillés, ce pillage le plus spectaculaire en Albanie, où on pense que plus de 100.000 armes ont été volés, et disponible pour la revente dans les pays du nord.
    M. Geens a souligné que la Belgique ne pouvait lutter contre les trafiquants d'armes, que dans un cadre d'un effort européen beaucoup plus large sur le partage de renseignements que celui qui existe à présent.
    Les Belges agissant seul, dit-il, ne pourraient jamais être «maîtres du jeu».

 

Un rapport additionnel du "Financial Times," reportage de Andrew Byrne and Jim Brunsden

 

Crime: décès par armes à feu en Belgique, élevées par rapport avec les normes européennes

 

Peu de temps avant Noël en 2011, Nordine Amrani a ouvert le feu sur des acheteurs dans la ville belge de Liège, tuant cinq personnes et en blessant 125 avec un fusil et des grenades d'assaut FN FAL. À la fin de son assaut sanglant, il s'est tire une balle. L'attaque avait aucun lien avec le djihadisme, et les autorités ont conclu que Amrani était mentalement malade et obsédé par les armes.


Bien que les djihadistes ont jeté l'attention du publique sur la culture des armes à feu en Belgique, Claude Moniquet, un analyste de la sécurité et ancien espion français, souligne que 95 pour cent des armes sont destinées à des criminels sans rapport avec le terrorisme.


Le crimes d'armes à feu ne sont guère une rareté dans les nouvelles en Belgique. Dans les jours après les attentats terroristes à Paris, un jeune homme a été abattu dans une petite ville en Wallonie (Quenast, Brabant wallon). Peu après, la Police a dû changer le parcours d'un bus dans une banlieue aisée de Bruxelles, après d'avoir soupçonné que les fenêtres d'un autre bus avait été brisée par une balle perdue.

 

Selon les dernières données de l'ONU sur les homicides par armes à feu en Belgique, à partir de 2004, le pays avait un taux de mortalité relativement élevé par rapport aux normes européennes.


Le taux d'homicides par armes à feu était de 0,7 pour 100.000 décès. Cela signifie que le taux de la Belgique était similaire à ceux de l'Italie et de la Bulgarie - pays connus pour le crime organisé. Le taux de la Grande-Bretagne se situe autour de 0,1.


Pourtant, selon les normes internationales, la Belgique demeure sécuritaire. Le taux américain est d'environ 3 ou 4. Au Honduras, il est d'un étonnant 64.
Plusieurs sources distinctes suggèrent également que la Belgique est devenue plus sûre. Les données recueillies par Gunpolicy.org, un site de recherche hébergé par l'Université de Sydney, a déclaré 36 personnes ont été abattues par armes à feu en 2010, contre 95 en 1993 et 70 en 1999. Cette tendance à réduit le taux d'homicides par fusil à 0,33 en 2010.

 

 

Voici quelques Commentaires, que j'ai recueillis en dessous de l'article précédent.

 

  • "Comment est-il possible pour Bruxelles d'avoir encore 6 zones de police différentes? Avec la meilleure volonté du monde, clairement les choses doivent se glisser à travers les fissures inévitables dans ce système. Il ne sert à rien de blâmer les attaques sur la Belgique, que les terroristes peuvent clairement organiser dans de nombreux autres endroits, mais il est raisonnable de s'attendre à ce que des mesures soient prises pour arrêter la fragmentation absurde de l'administration dans le pays."

 

  • "Présenter les terroristes comme des jeunes mécontents au chômage est une insulte à tous les chrétiens / athée / etc jeunes qui sont au chômage, mécontents, mais ne recourent pas au terrorisme de masse. Nos médias ont trop peur, reste bien soigneusement trop politiquement correct, trop emprisonné par l'inertie de ses hypothèses. Non, cher FT, décapitation, le terrorisme des masses, tuer les grand-mères et des civils non armés par un gang, ne se justifie jamais, ni une réponse humaine naturelle, peu importe votre niveau de mécontentement."

 

  • 1. Puisque ces armes terroristes étaient des AK-47, probablement illégalement importés en provenance des Balkans, je suis intrigué par la mention non sequitur de FN Herstal en Belgique, dont aucun des armes ou des employés ont déjà été impliqué à ma connaissance, dans le terrorisme.
    2. Ayant vécu des années en Belgique, je peux confirmer que l'administration publique est dysfonctionnelle. Et resserrer les lois sur les permis pour les armes à feu n'aura pas d'effet sur le commerce illicite des Balkans AK-47.
    3. Personne ne semble avoir soulevé la question de savoir où les terroristes ont obtenu leurs explosifs, où les contrôles devraient être encore plus serrés.

 

 

 

 

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"Alors, StavelotNews.com, comment faire un lien entre cette catastrophe de manque de contrôle d'armes de guerre dans nos rues, et la compassion?"

 

Très directement.

 

  • Par une profonde compassion ressenti pour toutes ces personnes que ces armes ont déjà et vont encore tuer et blesser si rien ne change, chaque personne va maintenant surmonter sa peur.
  • Chaque personne va écrire une lettre aux élus de leurs communes pour dire que puisqu'ils comprennent mieux que nous le fonctionnement de notre système politique, c'est à eux de crier vers le haut.  Ils sont nos représentants, nos voix, alors c'est le moments de crier pour nous.
  • Et ces cris vont comporter un message court et direct : 1. plus d'armes de guerre en Belgique (sauf à l'Armée et chez les Forces de l'Ordre) par la fin de 2016. 2. Une condamnation à vie automatique, sans possibilité de libération conditionnelle, pour quiconque est reconnu coupable de la vente, ou de la possession d'une arme de guerre.
  • Emportez ces cris vers le gouvernement au niveau régionale, et de là, au gouvernement nationale.
  • Et n'oublions pas le Roi. Il semble rester drôlement silencieux face à ces événements.  Que pense-t-il cet homme, et a-t-il encore le courage et la permission à nos jours, de nous le dire?
  • Qui dirige le gouvernement : Les représentants du gouvernement que nous avons élus, ou les syndicalistes? (Et n'oubliez pas : Grève sur le rail annoncée par le syndicat CGSP Cheminots - perturbations de dimanche soir à lundi soir).

 

Qu'en pensez vous?  

 

Je connais un petit colibri qui attend avec impatience vos commentaires et suggestions, mais surtout les actions (même les plus petites) que votre compassion vous propose.



21/11/2015
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